Loin des stéréotypes et idées erronées dont les compétitions sportives contemporaines se réclament, Alexandre Farnoux dessine ici une image précise du sport chez les Grecs anciens. S’appuyant sur les riches collections du Louvre, combinées aux sources textuelles, il parvient à rétablir les pratiques des Grecs dans ce qu’elles ont d’étrange et d’inattendu, et fait revivre sous nos yeux l’animation d’une leçon de gymnastique ou l’ambiance des concours.
L’auteur met en lumière la place prépondérante du sport dans la société grecque, l’importance de l’entraînement dans l’éducation et la préparation à l’armée, les liens entre religion, politique et compétition, le rôle et les enjeux de la victoire.
Il en ressort que l’héritage que nous pourrions assumer de la pratique sportive des Grecs ne se trouve pas dans la vision du sport contemporaine, mais bien davantage dans une leçon de modération, que Galien, à la suite d’Hippocrate, résumait ainsi : « Des exercices, de la nourriture, des boissons, du sommeil, les plaisirs de l’amour, le tout avec modération. »
Cet ouvrage est une coédition Musée du Louvre/Éditions Hazan
L’auteur met en lumière la place prépondérante du sport dans la société grecque, l’importance de l’entraînement dans l’éducation et la préparation à l’armée, les liens entre religion, politique et compétition, le rôle et les enjeux de la victoire.
Il en ressort que l’héritage que nous pourrions assumer de la pratique sportive des Grecs ne se trouve pas dans la vision du sport contemporaine, mais bien davantage dans une leçon de modération, que Galien, à la suite d’Hippocrate, résumait ainsi : « Des exercices, de la nourriture, des boissons, du sommeil, les plaisirs de l’amour, le tout avec modération. »
Cet ouvrage est une coédition Musée du Louvre/Éditions Hazan