«Unique photographe à des kilomètres à la ronde, je possédais maintenant ma guerre personnelle.»
Débarquée à Omaha Beach le 12 août 1944, Lee Miller arrive à Saint-Malo le lendemain. Chargée d’un reportage sur les Affaires civiles, elle trouve la ville assiégée. Armée de son Rolleifleix et d’un plan du syndicat d’initiative datant de 1939, elle est la seule photo-reporter à couvrir les violents combats qui conduiront à la libération de Saint-Malo. Elle photographie les réfugiés, vient en aide aux civils, pénètre dans la vieille ville dévastée et assiste à l’assaut final de la citadelle d’Alet, à son bombardement au napalm et à la reddition allemande.
Son reportage, texte et photos, à l’époque partiellement interdit de publication dans le magazine Vogue, constitue un témoignage exceptionnel.
Débarquée à Omaha Beach le 12 août 1944, Lee Miller arrive à Saint-Malo le lendemain. Chargée d’un reportage sur les Affaires civiles, elle trouve la ville assiégée. Armée de son Rolleifleix et d’un plan du syndicat d’initiative datant de 1939, elle est la seule photo-reporter à couvrir les violents combats qui conduiront à la libération de Saint-Malo. Elle photographie les réfugiés, vient en aide aux civils, pénètre dans la vieille ville dévastée et assiste à l’assaut final de la citadelle d’Alet, à son bombardement au napalm et à la reddition allemande.
Son reportage, texte et photos, à l’époque partiellement interdit de publication dans le magazine Vogue, constitue un témoignage exceptionnel.