- Le taoïsme : la religion la plus pratiquée encore aujourd’hui ; Ses textes, ses courants et différentes écoles, ses divinités, ses enseignements, les pratiques ou exercices de méditation, les rites, le clergé et les lieux de cultes.
Le taoïsme, aujourd’hui la religion la plus pratiquée en Chine avec le bouddhisme, a gardé les caractéristiques de ses débuts : celles d’une tradition vivante, ouverte, sans cesse en évolution. À travers six chapitres abondamment illustrés – « L’histoire », « Les textes », « Les courants et les écoles », « Les divinités et les grandes figures », « Les enseignements » et « Les pratiques » –, cet ouvrage offre au lecteur la possibilité de mieux le connaître. L’histoire du taoïsme commence au cours du Ier millénaire avant notre ère, époque où furent rédigés certains de ses textes les plus significatifs, et qui vit naître l’idéal de l’immortalité ainsi que nombre de ses pratiques. Il n’a cessé de se modifier pour s’adapter à son temps, pensant ses doctrines, explicitant ses enseignements, développant des pratiques et des liturgies nouvelles, en marginalisant d’autres, enrichissant son panthéon… Cet univers composite, ouvert aux influences extérieures,en particulier au bouddhisme, a peu à peu été pénétré de tendances diverses, comme en témoigne la centaine d’ouvrages qui composent le Canon taoïste. Il existe pourtant bien une notion clef, et qui unit ces éléments disparates : le Dao (la « Voie »), principe métaphysique et origine de toutes les manifestations de l’existant, mais aussi chemin à parcourir et but. Connu en Occident à travers les symboles du yin et du yang ou le Daode Jing, le taoïsme, étroitement lié à l’histoire de la Chine, représente, outre des contenus doctrinaux, toute sorte d’aspects : des rites et des cérémonies, un clergé, un calendrier religieux, des lieux de culte, un rapport à la mort, au vide, ou encore à la nature. Cet ouvrage présente tous ces éléments, ainsi qu’une série d’annexes qui complètent la documentation : la carte des principaux sites, les dynasties chinoises, des musées, la transcription en pinyin des termes et un index.
Le taoïsme, aujourd’hui la religion la plus pratiquée en Chine avec le bouddhisme, a gardé les caractéristiques de ses débuts : celles d’une tradition vivante, ouverte, sans cesse en évolution. À travers six chapitres abondamment illustrés – « L’histoire », « Les textes », « Les courants et les écoles », « Les divinités et les grandes figures », « Les enseignements » et « Les pratiques » –, cet ouvrage offre au lecteur la possibilité de mieux le connaître. L’histoire du taoïsme commence au cours du Ier millénaire avant notre ère, époque où furent rédigés certains de ses textes les plus significatifs, et qui vit naître l’idéal de l’immortalité ainsi que nombre de ses pratiques. Il n’a cessé de se modifier pour s’adapter à son temps, pensant ses doctrines, explicitant ses enseignements, développant des pratiques et des liturgies nouvelles, en marginalisant d’autres, enrichissant son panthéon… Cet univers composite, ouvert aux influences extérieures,en particulier au bouddhisme, a peu à peu été pénétré de tendances diverses, comme en témoigne la centaine d’ouvrages qui composent le Canon taoïste. Il existe pourtant bien une notion clef, et qui unit ces éléments disparates : le Dao (la « Voie »), principe métaphysique et origine de toutes les manifestations de l’existant, mais aussi chemin à parcourir et but. Connu en Occident à travers les symboles du yin et du yang ou le Daode Jing, le taoïsme, étroitement lié à l’histoire de la Chine, représente, outre des contenus doctrinaux, toute sorte d’aspects : des rites et des cérémonies, un clergé, un calendrier religieux, des lieux de culte, un rapport à la mort, au vide, ou encore à la nature. Cet ouvrage présente tous ces éléments, ainsi qu’une série d’annexes qui complètent la documentation : la carte des principaux sites, les dynasties chinoises, des musées, la transcription en pinyin des termes et un index.