Dans son rapport du 11 novembre 2019, l’Organisation mondiale de la santé affirme que l’art est bénéfique pour la santé, tant physique que mentale. Si les philosophes ont les premiers pressenti son impact sur notre existence, leurs thèses sont désormais confirmées par les neurosciences, qui nous révèlent comment l’art sculpte et caresse notre cerveau.
Pierre Lemarquis, accompagné de Boris Cyrulnik, nous invite à partager, à travers son musée imaginaire, son expérience de l’art qui guérit la mémoire.
Dans toutes les cultures du monde, les artistes témoignent du fait que l’art, depuis ses origines, est indissociable de la mémoire : magnifiques manuscrits enluminés du Moyen Âge, fascinants motifs géométriques de l’art islamique, lignes mystérieuses de Nazca au Pérou ; ces liens étroits entre art et mémoire sont aussi connus de Giotto, de Botticelli, de Michel-Ange, sans oublier Vermeer et Dalí.
Cet ouvrage se propose d’explorer et d’analyser les pouvoirs de l’art sur notre mémoire : comment nous permet-il d’en prendre soin et de la développer ? Comment nous aide-t-il à mieux apprendre et à penser ?
Les développements récents des neurosciences nous permettent aujourd’hui d’en connaître les mécanismes. Nous savons que grâce à l’interaction avec les œuvres, grâce aux émotions qu’elles suscitent, notre mémoire va se trouver stimulée et enrichie. Et plus encore lorsque la maladie nous touche, il est désormais certain que l’art soutient et soigne nos mémoires défaillantes.
Et n’est-ce pas là l’une des fonctions essentielles de notre cerveau que de se souvenir, de préserver notre mémoire mais aussi celle de l’humanité ?
Pierre Lemarquis, accompagné de Boris Cyrulnik, nous invite à partager, à travers son musée imaginaire, son expérience de l’art qui guérit la mémoire.
Dans toutes les cultures du monde, les artistes témoignent du fait que l’art, depuis ses origines, est indissociable de la mémoire : magnifiques manuscrits enluminés du Moyen Âge, fascinants motifs géométriques de l’art islamique, lignes mystérieuses de Nazca au Pérou ; ces liens étroits entre art et mémoire sont aussi connus de Giotto, de Botticelli, de Michel-Ange, sans oublier Vermeer et Dalí.
Cet ouvrage se propose d’explorer et d’analyser les pouvoirs de l’art sur notre mémoire : comment nous permet-il d’en prendre soin et de la développer ? Comment nous aide-t-il à mieux apprendre et à penser ?
Les développements récents des neurosciences nous permettent aujourd’hui d’en connaître les mécanismes. Nous savons que grâce à l’interaction avec les œuvres, grâce aux émotions qu’elles suscitent, notre mémoire va se trouver stimulée et enrichie. Et plus encore lorsque la maladie nous touche, il est désormais certain que l’art soutient et soigne nos mémoires défaillantes.
Et n’est-ce pas là l’une des fonctions essentielles de notre cerveau que de se souvenir, de préserver notre mémoire mais aussi celle de l’humanité ?