Nouvelle édition dans la collection Guides Hazan.
Mieux comprendre la civilisation japonaise de la période protohistorique à la fin de la période d’Edo. Il présente les personnages importants, les écoles de pensée, le pouvoir et la vie politique, la religion, la vie quotidienne, le monde des morts et l’art funéraire.
Si la civilisation japonaise fascine et inspire les Occidentaux, attirés par sa simplicité et son austérité comme par son exotisme et son excentricité, elle reste bien lointaine, encore mal connue. Cet ouvrage s’efforce de la faire mieux comprendre, au-delà des caractéristiques qui lui sont communément attribuées. Il couvre un champ chronologique qui s’étend de la période protohistorique jusqu’à la fin de la période d’Edo, marquée par l’ouverture des ports japonais à l’Occident. C’est l’art qui sert ici de fil conducteur, et permet d’approcher au plus près le Japon, dans une société qui a élevé certaines de ces œuvres au rang de « trésor national ». La première partie, « Les personnages », est consacrée aux vies de peintres, lettrés, moines ou figures légendaires, et permet d’aborder la mythologie et la naissance des nombreuses écoles de pensée. « Le pouvoir et la vie politique » met l’accent sur l’évolution historique du pays, évoquant les empereurs, guerriers ou chefs militaires et soulignant les déplacements géographiques du centre politico-administratif qui en découlèrent. La troisième partie présente les diffférents édifices sacrés, temples bouddhistes et sanctuaires shintoïstes. Dans « La vie quotidienne », peintures, paravents et rouleaux illustrés, choisis pour rendre compte en particulier du développement de la ville d’Edo (la Tôkyô actuelle), mettent en évidence les lieux spécifiques de la nouvelle vie urbaine : théâtres, maisons de thé…, et différentes pratiques traditionnelles y sont décrites, comme la cérémonie du thé ou l’ikebana, « l’art d’arranger les fleurs ». Enfin, « Le monde des morts » permet d’aborder la période dite des « tertres anciens », remarquable par son art funéraire. Au fil de la lecture, on découvrira les innombrables monuments et sites de la civilisation japonaise, temples, résidences aristocratiques et châteaux. Les « Annexes » comprennent une carte du Japon localisant sites et édifices cités, un glossaire, une présentation des musées conservant des collections d’art oriental, ainsi qu’une orientation bibliographique.
Mieux comprendre la civilisation japonaise de la période protohistorique à la fin de la période d’Edo. Il présente les personnages importants, les écoles de pensée, le pouvoir et la vie politique, la religion, la vie quotidienne, le monde des morts et l’art funéraire.
Si la civilisation japonaise fascine et inspire les Occidentaux, attirés par sa simplicité et son austérité comme par son exotisme et son excentricité, elle reste bien lointaine, encore mal connue. Cet ouvrage s’efforce de la faire mieux comprendre, au-delà des caractéristiques qui lui sont communément attribuées. Il couvre un champ chronologique qui s’étend de la période protohistorique jusqu’à la fin de la période d’Edo, marquée par l’ouverture des ports japonais à l’Occident. C’est l’art qui sert ici de fil conducteur, et permet d’approcher au plus près le Japon, dans une société qui a élevé certaines de ces œuvres au rang de « trésor national ». La première partie, « Les personnages », est consacrée aux vies de peintres, lettrés, moines ou figures légendaires, et permet d’aborder la mythologie et la naissance des nombreuses écoles de pensée. « Le pouvoir et la vie politique » met l’accent sur l’évolution historique du pays, évoquant les empereurs, guerriers ou chefs militaires et soulignant les déplacements géographiques du centre politico-administratif qui en découlèrent. La troisième partie présente les diffférents édifices sacrés, temples bouddhistes et sanctuaires shintoïstes. Dans « La vie quotidienne », peintures, paravents et rouleaux illustrés, choisis pour rendre compte en particulier du développement de la ville d’Edo (la Tôkyô actuelle), mettent en évidence les lieux spécifiques de la nouvelle vie urbaine : théâtres, maisons de thé…, et différentes pratiques traditionnelles y sont décrites, comme la cérémonie du thé ou l’ikebana, « l’art d’arranger les fleurs ». Enfin, « Le monde des morts » permet d’aborder la période dite des « tertres anciens », remarquable par son art funéraire. Au fil de la lecture, on découvrira les innombrables monuments et sites de la civilisation japonaise, temples, résidences aristocratiques et châteaux. Les « Annexes » comprennent une carte du Japon localisant sites et édifices cités, un glossaire, une présentation des musées conservant des collections d’art oriental, ainsi qu’une orientation bibliographique.